samedi 21 juin 2008

Anderlecht

En voilà qui ne sont pas flattés ... lol



:p






"Le bleu imaginaire"


Voilà un des mes travaux réalisé pour le cours de photoshop à l' examen,


le but était d'insérer des éléments improbables (ou pas) dans un paysage plus ou moins réaliste, donc de créer un photomontage ...



Parrain tenait à ce que je le mette sur son site ...


chose faite (:

jeudi 19 juin 2008

Pour qui cuisine-t-on?

La cuisine est à la mode. Il faudrait habiter sur une autre planète pour ne pas s'en rendre compte aujourd'hui. Tout le monde s'y met et ce sont même les plus jeunes d'entre nous qui, à peine installés loin de papa et maman, s'adonnent au plaisir du mijotage, de la marinade et du pâte-à-tartage.


Mais le terme de « mode » est-il adapté ? Ne s'agit-il pas plutôt d'un phénomène significatif d'une tendance sociétale profonde ?

On aurait pu croire que les années quatre vingt, bercées de matérialisme et d'individualisme, auraient favorisé une tendance épicurienne, basée sur le plaisir des sens. Mais la cuisine est bien plus complexe que cela, bien trop riche pour être ramenée à une simple expérience physique.

Mais alors, si on ne cuisine pas pour soi, pour qui cuisine-t-on ?


Demandez autour de vous. Demandez-vous à vous-même, pour commencer. Pour qui cuisinez-vous ?


On cuisine pour ses proches, bien sûr. Son conjoint, ses enfants, ses parents, ses cousins, ses collègues, ses voisins... Parce que lorsqu'on partage une tranche de vie, grande ou petite, il est dommage de faire comme si on ne partageait rien en restant chacun dans son coin.

On cuisine pour ses amis, ses copains, ses connaissances, les amis des amis de ses amis, qui ont eu la bonne idée de téléphoner juste avant le dîner... Pour les enfants de ses amis, les amis de ses enfants, s'ils sont toujours là à l'heure du dîner.

Quand on cuisine seul, on cuisine souvent pour les autres. Quel plaisir de faire mijoter un bon petit plat dès le matin en prévision du déjeuner, en gardant pour soi le secret de la lenteur, qui fait venir la saveur lentement, alors que l'heure du déjeuner venue, chacun s'émerveille des effluves merveilleuses qui s'échappent de la marmite dès lors qu'on en retire le couvercle, comme s'il s'agissait de pure magie...

Mais quand on cuisine seul, on cuisine aussi pour s'améliorer, pour tester de nouvelles idées, pour élaborer de nouveaux plats, pour les fignoler afin d'en faire profiter les autres lors d'un prochain repas... Tel le chercheur qui manie l'éprouvette à la recherche de nouveaux médicaments, le cuisinier manie la casserole à la recherche de nouveaux remèdes contre la monotonie et le vague à l'âme.

Et même quand on cuisine pour soi un plat que l'on connaît par cœur, dans le seul but de se faire vraiment, vraiment plaisir, la bonne humeur qu'on en retire est de toute façon un bienfait pour l'humanité.

Alors surtout, continuez à cuisiner ! C'est pour le bien de tous.

Edito de Marmiton.org (novembre 2006)

mercredi 18 juin 2008

UNE VIE DE CHAT

Je 11/04/96, premier jour

En bref le film de la journée: 7 H, Gin arrive dans la chambre, les contractions ont commencé; 9 H: perte des eaux, puis de moins en moins de contractions.12 H 30: nous avons essayé la caisse, le fauteuil, nous ne savons pas rester seule 2’, mais rien ne se passe. Je suis coincée, une main sur le clavier, l’autre caressant miss Gin. J’en ai marre, j’abandonne pour aller dîner, au retour, plus de chatte; j’opte pour la sieste. 15 H, je découvre un chaton et ma chatte sous la couverture du fauteuil. Le soir, ce seront les affres de la nuit: comment une mère chatte peut-elle envisager de dormir seule avec son bébé? J’ai quand même tenu bon, chacune son lit et le chaton sera bien élevé! Du moins, c’est ce que je croyais naïvement, mais je préfère lui laisser la parole…

Di 14/04, quatrième jour

Mon maître ne veut pas choisir un nom arbitraire pour moi, il attend de découvrir ma personnalité; pour l’instant, elle se limite à tenter de survivre face à une mère pas très douée qui a tendance à se coucher sur moi, à prétendre me laver quand je veux mon biberon ou à croire que son marmot est une souris qu’on serre entre les pattes tout en le maintenant à pleine gueule.

Lu 15, cinquième jour

Maman a prétendu me réinstaller sous la couverture, j’étouffe la-dessous et puis j’y vois rien; c’est vrai que je n’y vois rien, même quand je suis à l’air libre!

Ma 16, sixième jour

Maman m’a encore abandonné tout l’après-midi, c’est que j’ai faim, moi; puis elle revient tout enveloppée d’odeurs que je ne reconnais pas. Et quand elle revient, elle pense à me laver, je n’aime pas cela moi, tout ce que je veux, c’est manger et dormir; et aussi qu’on éloigne cette grosse bête qui vient aboyer et fait peur à ma maman.

Me 17, septième jour

Tantôt, j’ai reniflé cette grande paluche qui ne sent pas comme maman: je ne sais quoi en penser. Si elle me prend quand maman n’est pas là, j’ai peur et je me mets à pleurer, alors maman arrive tout de suite pour me défendre; mais si j’ai peine à escalader pour arriver au bon téton, la paluche elle me soutient, alors je ronronne; mais pas longtemps, cela m’épuise.

Comment fait-elle, maman pour me laver de tous les côtés? Ce soir, j’ai essayé: un bout de patte, un coin de poitrail et, vlan, je me retrouve sur le dos; il vaut mieux laisser faire maman, même si elle va dans des coins qui me déplaisent.

Ma 23, treizième jour

Il paraît que j’ai les yeux à moitié ouverts, en tout cas plus ouverts qu’hier; je n’y vois quand même pas grand chose; ou plutôt si: tantôt, maman était encore en vadrouille et une grande masse sombre est venue s’asseoir près de moi, alors, j’ai voulu la chasser avec un grand pfff, mais elle n’a pas eu aussi peur que moi et c’est elle qui m’a réconforté; quand j’ai reconnu son odeur, je dois dire que je me suis laissé convaincre.

Ve 26/04/96

Je suis resté silencieux, mais rien ne se passait dans ma petite vie faite d’ombre et de lumière: manger, dormir, se nettoyer un peu; tout cela manquait vraiment d’intérêt. Mais aujourd’hui, mes yeux sont bien ouverts: j’ai vu le soleil, le gros chien, même mon maître (il paraît qu’il s’était fait couper les cheveux, je ne sais pas si c’est en mon honneur, mais il est pas mal).

Lu 29/04/96

Ce soir, branle-bas de combat! Depuis le temps que je me traînais lamentablement dans ce fauteuil, je décide de marcher: mes pattes vont-elles supporter mon poids? C’est pas génial, mais j’y arrive et voilà maman qui m’enguirlande, en langage chatonesque pour pas que les hommes interviennent. Mais la dame blonde, elle a compris et elle m’a déposé sur le tapis. Vous auriez vu les yeux de maman: effrayée qu’elle était. Quand elle a jugé que j’avais assez marché (c’est ce qu’elle a dit, moi je crois qu’elle en avait assez de me surveiller), la dame m’a remis dans le fauteuil et, là, j’ai redémarré tout aussi sec vers la sortie. Alors la dame, elle a estimé que j’allais tomber, que le fauteuil c’était dépassé et elle m’a installé dans une caisse qui sent le bois, le parfum de la dame et celui de maman.

C’est pas mal la caisse, je peux marcher sans que maman ne me gronde, mais quand j’escalade, elle est de l’autre côté et je reçois des baffes -avec des pattes de velours, mais quand même. J’ai l’impression qu’elle ne me fait pas confiance...

Ma 28/05/96

Salut petit maître,

Mon nom de baptême, pardon, de vaccination est Fauve. Il paraît que je suis un mâle bien conformé et, en plus, je suis “tigneux”. Tu comprends cette critique, toi? Moi pas. Je me comporte en chaton normalement constitué, digne de mon père et de mon grand-père; en d’autres termes, quand César a aboyé à 9 H du mat pour faire la fête à une inconnue, moi, je me suis planqué sous le divan vert. Et tu aurais dû voir la dame blonde, celle que tu appelles maman, à quatre pattes, me disant de gentilles choses. C’était tellement honnête tout ce qu’elle me disait que je me suis empressé de lui ouvrir un doigt sur 2 cm avec un bon coup de griffes quand elle est parvenue à m’attraper. Je le sentais qu’on ne m’attrapait pas pour la bonne cause: on m’a piqué, on m’a retaillé les griffes. Comment vais-je faire maintenant pour arracher les poils que César laisse traîner sous la porte d’entrée?

Qu’a-t-elle encore dit la vétérinaire? Qu’il fallait me mettre des Cotons-Tiges dans les oreilles, m’ouvrir la bouche, tout cela pour m’habituer à me laisser soigner. Quand est-ce que tu essayes que je te griffe?

Aujourd’hui, ma maman a pris la pilule: il paraît que cela ne l’empêchera pas de me fabriquer du bon lait, des petits frères non plus d’ailleurs, s’ils sont déjà en cours de fabrication.

Chaton Fauve

Lu 03/06/96

Quelle vie de chaton: il paraît que je suis malade; c’est pour cette raison que j’ai tout le temps envie de dormir et que je grelotte. Hier, mon maître a voulu me soigner avec un truc absolument dégueulasse: amer à réveiller un mort. Aujourd’hui, c’est la vétérinaire qui m’a piqué à l’antibiotique, puis j’ai encore eu droit à deux ¼ de Dispril et, ce soir, j’ai encore 39,6°. En plus, on a piqué l’assiette de lait et on veut me faire boire de l’eau: c’est révoltant. si vous ne devinez pas qui c’est “ on ”, c’est que vous n’êtes pas doué, mais comme entre temps, elle me réchauffe, je lui pardonne.

Me 05/06/96

Cela signifie quoi, exactement, être malade? Maman ne m’a rien appris sur la question. Ne pas se laver? Cela, je l’ai essayé dimanche; mais comme je n’aime pas les petites odeurs, lundi j’ai recommencé ma toilette. Ne pas bouger, dormir? Deux jours m’ont suffi. Alors, hier, comme je m’ennuyais ferme, j’ai décidé de bouger à mort. et je n’exagère pas, en disant “à mort”. Essayez de demander à un homme affaibli par la fièvre, les antibiotiques de passer une journée sans boire ni manger, de s’occuper à courir dans tous les coins, de faire du gymkhana d’un pot de fleur à l’autre, de se rouler au soleil derrière les vitres de la salle à manger, et d’être encore capable de grimper aux tentures à minuit? Moi, j’y suis très bien parvenu et, ce matin, j’étais bien décidé à continuer le même jeu. Toute la matinée, maman m’a supplié pour que je prenne le biberon: NIET. Les hommes se sont mis à genoux pour me faire manger: NIET. Mais, à midi, j’ai craqué quand j’ai vu la dame blonde donner à maman la nourriture que je refusais depuis le matin, cela, je ne l’ai pas toléré; puis, je me suis laissé séduire par des sardines à l’huile: un délice, vous ne pouvez pas imaginer.

Cela mis à part, j’ai trouvé le truc pour avoir du lait: c’est la seule manière pour me faire absorber mon antibiotique; puis, histoire de corser le tableau des interdits, je vais boire de l’eau au seau à orchidées. Vraiment, pourquoi les hommes s’en font-ils pour moi? Je suis un chaton tout ce qu’il y a de plus raisonnable...

Di.22/09/96

Que m’est-il arrivé? Dans quel piège me suis-je fourré? Erreur d’orientation ou de parcours? Agression délibérée ou involontaire? Toujours est-il que vers 18 H, j’étais coincé, sans doute sous des tôles, dans le jardin de Rosa. Comment me signaler à la dame blonde qui m’appelait avec insistance, moi qui n’ai qu’un filet de voix?

Je n’ai pas encore compris comment cela fonctionne, mais il est certain que nous les animaux avons un sixième sens pour pressentir le danger: aussitôt, non seulement César, mais aussi maman, qui dormait profondément dans le salon, sont venus prêter main forte à la dame. Quand j’ai entendu la voix de maman, j’ai rassemblé toute mon énergie et j’ai littéralement volé au-dessus du mur. Une fois sur la pelouse, je n’ai pensé qu’à fuir, fuir jusqu’au bout du jardin cet ennemi indéfinissable, malgré la pluie qui n’en finissait pas d’achever de me salir.

Et ils s’y sont mis à trois pour m’aider à retrouver un peu de calme: César vérifiait qu’aucun ennemi ne s’était aventuré sur mes terres, la dame me parlait d’une voix douce et rassurante et maman me disait, en langage chatonesque, qu’elle était toujours ma maman et que je devais lui faire confiance. Oh, je ne suis pas rentré tout de suite, il a bien fallu 5 minutes pour retrouver le chemin de la maison et 5 H avant d’accepter que la dame me touche et que je pense à manger.

Après mon retour au bercail, maman a passé des heures à me laver: il faut dire que j’étais dans un état! gonflé d’eau comme une éponge, les pattes couvertes de boue, sans parler de mon museau qui a pris de vilains reflets verts. J’oubliais: entre les séances de nettoyage, maman m’engueulait comme à son habitude; mais j’étais tellement stressé que cela me faisait presque plaisir de retrouver cette vieille habitude et que je me suis seulement contenté de baisser les oreilles, me refusant à quitter la sécurité du fauteuil.

Lu 23/09/96

Pas évident de me remettre de mes émotions d’hier: maman ne m’aime plus et je ne parviens pas à deviner ses sautes d’humeur; ce midi, j’ai accepté d’aller dans les bras et de ronronner, mais sortir, c’est autre chose: le moins longtemps possible, le moins loin possible et, de préférence, pas tout seul.

Lu 17/02/97

Aujourd’hui, j’ai reçu une baffe: non, pas de ma maman (d’elle, j’ai l’habitude et de toute façon, c’est moi qui les cherche), mais de la dame blonde, alors que je provoquais ma pauvre maman qui doit être opérée d’une tumeur. Pour me venger, j’ai passé le plus clair de ma journée dehors, à courir après les feuilles et je n’ai presque pas mangé.

Lu 24/02/97

On cache toujours des choses aux enfants: pourquoi m’a-t-on mis dehors au moment d’endormir maman? Pour que je ne vois pas comment un chat doit se défendre contre les agressions des hommes? Aucun problème, j’apprendrai tout seul, d’autant que j’ai de qui tenir: maman a griffé sa maîtresse aux deux mains, au menton, elle a même réussi a attaqué le pull.

Puis je n’ai pas pu aller voir maman de toute la semaine: il paraît qu’elle avait mal; pourtant quand je me pointais derrière la porte, attiré par l’odeur du sang, maman était parfaitement capable de grogner. Samedi après-midi, j’ai joué des pattes, profité d’une porte pas bien fermée et je suis allé voir maman: c’est vrai qu’elle n’a pas bonne mine, elle dort à un point tel qu’elle n’a même pas réagi à ma présence.

Di 02/03/97

Dimanche matin, c’est à coups d’eau dans une seringue que la dame blonde a fait boire maman: était-elle vraiment aussi mal qu’on le dit? Pourtant l’après-midi, elle est venue faire sa sieste au salon, mais j’ai pu regarder seulement, pas toucher.

Aujourd’hui encore, l’on m’interdit le bureau transformé en chambre d’hôpital; cependant j’ai bon espoir: sur les sages conseils de la vétérinaire, la dame blonde donne son antibiotique à maman dans un peu de lait concentré parfumé à la vanille. Et ça marche! C’est vrai que c’est pas dégueulasse ce lait: j’ai eu droit à quelques gouttes, c’est vraiment délicieux. Ils doivent pas s’embêter les chats qui vivent au pays des orchidées qui produisent la vanille...

Juin 99

L'histoire finit mal: il a fallu euthanasier celui qui était resté notre chaton, suite à une péritonite infectieuse féline pour laquelle, hélas, il n’existe pas de vaccin.

dimanche 15 juin 2008

Petites annonces.

RENCONTRES
- Astronaute recherche femme lunatique.
- Artificier cherche femme canon.
- Sourd rencontrerait sourde pour trouver terrain d'entente.
- Jeune homme désintéressé épouserait jeune fille laide même fortunée.
- Abeille épouserait frelon. Lune de miel assurée.

EMPLOI
- Metteur en scène cherche nain pour rôle dans court métrage.
- On recherche deux hommes de paille (1 grand, 1 petit) pour tirage au sort.
- Cannibale mélomane cherche travail dans opéra-bouffe.
- Offre bonne place de gardien de vaches. Paiement par traites.
- Inventeur produit amaigrissant cherche grossiste.

ACHAT - VENTE
- Cause fausse alerte, vends cercueil en ébêne, jamais servi.
- Chien à vendre : mange n'importe quoi. Adore les enfants.
- A vendre robe de mariée portée une seule fois par erreur.

SERVICES
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DIVERS
- Homme sans histoires recherche éditeur pour devenir écrivain.
- Souffrant d'insomnies, échangerais matelas de plumes contre sommeil de plomb
- Échangerais voiture de sport endommagée contre chaise roulante en bon état.
- Perdu partie haute d'un dentier. Merfi de le reftituer à fon propriétaire auffitôt que poffible.

vendredi 13 juin 2008

Egalité des sexes en Afghanistan

Plusieurs années avant la guerre en Afghanistan, Barbara Walters avait écrit un article sur l'égalité des sexes à Kaboul.
Elle avait noté qu'à l'époque, les femmes marchaient respectueusement à 10 pas derrière leur mari.
Elle est revenue à Kaboul récemment et a remarqué que maintenant, ce sont les hommes qui marchent désormais à plusieurs mètres derrière leur femme.
Enchantée de cette formidable avancée, Barbara Walters s'est approchée d'une des femmes afghanes et lui a dit :
- C'est merveilleux ! Pourriez-vous dire au monde libre ce qui a permis aux femmes d'obtenir ce renversement des rôles ?
Réponse de la femme afghane :
- Les mines anti-personnelles, connasse !

mercredi 11 juin 2008

Le rire est le propre de l'homme...

... surtout quand il est provoqué par Le bêtisier des policiers... (extraits de rapports authentiques):

- Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit au poste de police.

- Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à le frapper.

- Il lui bottait le derrière à tour de bras.

- N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.

- L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.

- Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.

- N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite.

- Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer.

- Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.

- Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.

- Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort ne nous décrive son agresseur.

- Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.

- Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

- Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

- Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

- L'homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

- C'est la pluie qui empêcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.

- Les neuf coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n'était pas naturelle.

- L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.

- La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.

- Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident identique l'an dernier.

- Pourtant percé de plusieurs balles, le cadavre flottait sur la rivière

jeudi 5 juin 2008

Les femmes sont intelligentes....

Un homme appelle sa femme et lui demande,«Chérie, on m'a invité pour un voyage de pêche avec mon patron et quelques-uns de ses amis. Nous serons partis pour une semaine. Cela représente une bonne opportunité pour moi d'obtenir cette promotion que j'attends depuis si longtemps alors peux-tu SVP me faire une valise avec assez de vêtements pour une semaine entière et préparer ma ligne et mon coffre de pêche. Nous partirons directement du bureau et je passerai par la maison rapidement pour prendre mes affaires. Oh, SVP peux-tu mettre dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleu».L'épouse trouve bien étrange l'histoire de son mari mais en bonne épouse qu'elle est, elle fait exactement ce que son mari lui a demandé.
La semaine suivante, le mari revient à la maison un peu fatigué mais somme toute, content de son voyage.Sa femme l'accueille à la maison et lui demande s'il a pris du poisson et combien il en a pris?Il lui répond: «Oh oui, beaucoup de saumons, des crapets soleil et quelques espadons. Mais au fait, pourquoi n'as-tu pas mis dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleu comme je te l'avais demandé?»


Et sa femme de lui répondre, «Je l'ai mis.... il est dans ton coffre de pêche...."